Notre Cabinet d’avocat à Annecy intervient en droit de la famille et du divorce.
Vous voulez engager une procédure de divorce, ou votre conjoint a introduit à votre encontre une procédure de divorce ? Vous souhaitez être informé sur la procédure de garde d’enfants suite à un divorce ou une séparation ? Vous désirez partager une succession ?
Nous sommes à vos côtés pour vous conseiller et vous assister au mieux de vos intérêts et de ceux de vos proches. Praticien agréé, le Cabinet est membre de l’Association Française des Avocats de la Famille et du Patrimoine.
Le droit de la famille :
votre avocat vous assiste
Le droit de la famille régit les règles concernant les unions ou séparations quelque soit la forme de conjugalité (concubinage, mariage, PACS).
La séparation ou le divorce d’un couple a des incidences à l’égard des enfants (autorité parentale, droit de visite et d’hébergement, pensions alimentaires, etc.) et entre les époux (prestation compensatoire, liquidation du régime matrimonial, usage du nom marital, etc.) ou les concubins (acquisition immobilière en indivision par exemple).
Votre avocat en droit de la famille saura répondre à vos interrogations.
Le droit de la famille touche également à l’état des personnes (adoption, filiation, changement de prénom ou de nom, tutelle ou curatelle).
Divorce :
votre avocat à vos côtés
Touchant de plus en plus de familles, le divorce est souvent l’un des moments les plus difficiles de la vie.
Notre Cabinet d’avocat aura le souci de vous défendre sans attiser le conflit auquel vous pouvez être confronté.
Dans le cadre de votre divorce nous aborderons avec vous l’ensemble des questions qui vous tiennent à cœur : calcul de la prestation compensatoire, calcul de la pension alimentaire, détermination de la résidence des enfants (notamment la question de la résidence alternée), résolution des conflits d’autorité parentale, liquidation et partage de votre régime matrimonial.
Nous envisagerons ensemble le choix de la procédure de divorce (divorce amiable, par consentement mutuel, ou pour faute) et vous assisterons lors des différentes phases de la procédure devant le Juge aux Affaires Familiales, et si nécessaire devant le notaire choisi ou désigné pour procéder à la liquidation de votre régime matrimonial.
Notre Cabinet d’avocat à Annecy vous conseille sur les procédures à suivre selon votre situation
et vous représente dans les domaines suivants :
- Divorce et séparation
- Concubinage et pacs
- Droit de garde et pension alimentaire
- Régimes matrimoniaux
- Tutelle et curatelle
- Changement de nom et de prénom
- Adoption et contentieux de la filiation
- Succession et partage
Il existe quatre cas de divorce. Certains divorces sont de type contentieux (divorce pour faute, pour altération définitive du lien conjugal ou pour acceptation du principe de la rupture). À l'inverse, le divorce par consentement mutuel est de type non contentieux.
Le divorce par consentement mutuel ou « divorce à l’amiable »
Ce divorce est sans juge.
Il n’est envisageable que si les époux s’entendent sur l’intégralité des conséquences du divorce tant patrimoniales, qu’extrapatrimoniales.
Chacun des époux est assisté de son avocat.
Nous rédigerons dans votre intérêt une convention de divorce reprenant l’intégralité des conséquences du divorce, laquelle est enregistrée par nos soins chez un notaire.
La procédure est simple et rapide.
Votre divorce par consentement mutuel dès 890 € TTC/époux.
Le divorce sur demande acceptée
Ce type de divorce sera choisi si votre conjoint et vous-même êtes d’accord sur le principe du divorce, mais non sur ses effets et ses conséquences, concernant tant les enfants que les aspects financiers entre époux.
Le juge entérinera votre accord sur le principe du divorce et tranchera les points de désaccord sur les conséquences de la rupture du lien matrimonial.
C’est la procédure la plus courante.
Le divorce pour altération définitive du lien conjugal
Cette forme de divorce permet à celui des époux qui souhaite divorcer d’obtenir le divorce si les deux conjoints ne vivent plus ensemble depuis 2 années.
Cette procédure permet de divorcer même si l’un des conjoints refuse le divorce ; aucun grief n’est nécessaire.
Le divorce pour faute
C’est un divorce qui est formulé par un des époux qui reproche à son conjoint des fautes rendant intolérables le maintien de la vie commune (violences conjugales ou familiales, adultère, alcoolisme, etc.).
Le divorce pour faute n’a pas disparu, même s’il est en régression, et demeure dans certaines situations le seul cas de divorce envisageable pour l’époux, victime de la relation conjugale, qui a besoin qu’on lui reconnaisse ce statut pour se reconstruire.
En dehors du divorce par consentement mutuel qui est sans juge, la procédure de divorce se déroule en deux étapes. Sauf exception, la loi prévoit que la liquidation de votre régime matrimonial (communauté, séparation de biens, etc.) n’interviendra qu’après la procédure de divorce.
La requête en divorce et l’audience de conciliation
La requête en divorce est l'acte par lequel un des époux demande l'ouverture de la procédure de divorce. Le demandeur doit présenter cette demande par l'intermédiaire d'un avocat. Dans le but de pacification de la procédure, la loi énonce que la requête initiale ne doit pas à ce stade indiquer le fondement juridique de la demande divorce, ni les faits qui en sont à l'origine.
Vous serez ensuite convoqué, ainsi que votre époux, à une audience dite « de conciliation ».
Lors de cette audience, où nous vous assisterons, seront déterminées les mesures provisoires régissant les relations entre les époux et leurs enfants jusqu’au prononcé du divorce. Le Juge aux Affaires Familiales décidera provisoirement de la jouissance du domicile conjugal, de la résidence des enfants mineurs du couple et des modalités de droit de visite et d’hébergement de l’époux qui n’a pas la résidence habituelle, des pensions alimentaires pour les enfants et pour les époux au titre du devoir de secours.
L’assignation en divorce et le jugement de divorce
La procédure se poursuivra par l’introduction d’une assignation en divorce (pour l’un des cas prévus par la loi) dans le cadre de laquelle seront réglées les mesures définitives et le divorce prononcé.
La comparution des époux n’est plus nécessaire durant cette seconde phase même vous serez régulièrement informé de l’avancée de la procédure par notre Cabinet.
Le partage du patrimoine
Si le divorce a été prononcé à l’amiable ou via une transaction entre les époux, il est possible de prévoir dans cette transaction la liquidation du régime matrimonial.
A défaut, il convient de le faire une fois que le divorce est devenu définitif.
Si un conflit persiste, il sera parfois nécessaire d’introduire une procédure de partage judiciaire afin de liquider la communauté ou l’indivision.
Chacun des parents doit contribuer à l'entretien et à l'éducation de l'enfant à proportion de ses ressources, de celles de l'autre parent, et des besoins de celui-ci.
Aux termes de l'article 373-2-2 du code civil, en cas de séparation entre les parents, ou entre ceux-ci et l'enfant, la contribution à son entretien prend la forme d'une pensions alimentaires.
La revalorisation de la pension alimentaire est distincte de sa révision.
Revalorisation de la pension alimentaire
La pension alimentaire doit faire l’objet d’une revalorisation annuelle, dite indexation, dont les modalités sont fixées par le Juge aux Affaires Familiales aux termes de son jugement ou de son ordonnance (ou amiablement par les parties aux termes de la convention de divorce).
Cette revalorisation a pour but d'assurer le maintien du pouvoir d'achat et s’applique par référence à un indice des prix à la consommation.
C'est au débiteur qu'il incombe de procéder tous les ans "spontanément" à la revalorisation.
Calculer la revalorisation de votre pension alimentaire
Révision de la pension alimentaire
La situation de l'enfant, celle du parent débiteur ou du parent qui la reçoit, peut évoluer.
En cas de changement significatif dans la situation d'une des parties (promotion ou perte d'emploi, remariage, naissance d'un enfant, …), des besoins de l'enfant (école privée, soins de santé importants, etc ...), ou encore du mode de garde (passage d'un droit de visite et d'hébergement classique à une résidence alternée par exemple), il convient de saisir le Juge aux Affaires Familiales d'une demande de révision (à la hausse ou à la baisse) de la pension alimentaire.
Notre cabinet peut se charger de cette procédure.